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Bonjour

On dit souvent qu’il faut toucher le fond pour pouvoir repartir sur quelque chose de nouveau, corriger une attitude, en fait changer quelques choses au niveau personnel ou d’un pays.

Est-ce vraiment nécessaire, c’est ce que nous allons essayer de voir.

1) Fonctionnement d’une régulation de température

J’aimerai prendre l’exemple du fonctionnement d’un système de chauffage avec une régulation de température.

Il est nécessaire dans ce système de lancer le chauffage puis il faut attendre d’atteindre la température sélectionnée sur son programmateur pour que le chauffage s’arrête. Il redémarrera lorsque la température aura diminué en dessous d’une température déterminer par le système (par exemple 1 degré en dessous de la température programmée).

Si l’on ne fait pas confiance au système, dès que la température augmente et devient proche de la température programmée on ouvre les fenêtres, le chauffage continue de chauffer et peut ne jamais s’arrêter. C’est un gros gaspillage d’énergie.

Je pense que c’est un peu pareil avec nos défauts personnel et les problèmes de notre société.

Il faut souvent avoir des événements significatifs pour nous, plus ou moins douloureux, pour corriger un défaut.

2) Un exemple de “toucher le fond” pour changer

Lorsque j’ai commencé à conduire je me croyais très fort et j’avais tendance à trop couper les virages. J’ai eu un accident (sans gravité) parce que j’avais trop coupé un virage, ce qui m’a permis d’être plus modeste, de faire plus attention et de ne plus couper les virages.

Si au niveau d’une entreprise les salariés délaissent complètement la gestion de l’entreprise aux dirigeants, ceux-ci peuvent s’augmenter les salaires à des niveaux extraordinaires. Il faudra probablement attendre que cela mette l’entreprise en grosse difficultés pour que tous rectifie la situation.

3) Changement sans “Toucher le fond”

Mais est-ce possible d’avoir une rectification de la situation sans avoir à toucher le fond.

Je pense que oui. “Ce que l’homme ne veut pas apprendre par la sagesse, il l’apprendra par la souffrance. » Melkisedech.

Je suis tout à fait d’accord là-dessus. la version plus positive serait: “Pour ne pas souffrir d’apprendre par la souffrance développe ta sagesse”

La sagesse c’est aussi les prises de conscience. Internet met aujourd’hui à notre portée des révélations qui peuvent nous permettre de voir vers où certaines personnes/gouvernements/entreprises veulent nous amener et ainsi nous pouvons agir avant de connaitre la souffrance, ou avant que leurs plans ne soit réalisés.

Je vous souhaite d’évoluer avant d’atteindre le seuil de souffrance, en douceur.

Chaleureusement,

Lyvia et Christian de Succès et Spiritualité

 

Souvent nous nous laissons prendre par des problèmes et nous oublions de demander de l’aide au Divin

Bonjour

Problème

Au cours d’un week-end, j’ai essayé de mettre au point une commande de chauffage par internet.
J’ai passé le samedi matin, le dimanche matin et cela ne fonctionnait toujours pas. C’est un peu compliqué comme système, mais je ne voulais pas y passer trop de temps et je ne voyais pas comment m’en sortir.
Alors j’ai réfléchi en prenant un peu de distance par rapport au problème et je me suis dit, mais pourquoi je ne visualise pas le problème résolu ou bien pourquoi je ne fais pas une prière pour demander à Dieu de m’aider.
Pour moi les deux fonctionnent aussi bien.

Solution

Ensuite c’est ce que j’ai fait en choisissant la prière et dans le quart d’heure qui a suivi le système fonctionnait parfaitement.

Pourquoi je ne l’ai pas fait plutôt

Alors, connaissant depuis longtemps l’efficacité d’une prière, je me suis posé la question: “mais pourquoi je ne l’ai pas fait plutôt ?”
Je pense qu’une des raisons c’est qu’au départ je ne savais pas que cela pouvait durer aussi longtemps. C’est un peu comme l’histoire de la grenouille. Vous connaissez ?

L’histoire de la grenouille

Je la rappelle pour ceux qui ne connaissent pas encore.
Si l’on met une grenouille dans de l’eau bouillante, elle ressort immédiatement de cette eau et se sauve. Par contre si on la met dans un bain d’eau froide que l’on chauffe progressivement, elle ne réagit pas et meurt.

Meilleure attitude

Alors, comment faire pour éviter cela ?
Et bien je pense qu’il faut prendre le temps de réfléchir avant de faire les choses, de tirer parti de l’expérience des autres, par exemple une grenouille qui verrait une de ses camarades se faire piéger par l’eau chauffée progressivement ne devrait pas tomber dans le piège elle aussi.

Ensuite nous pouvons visualiser, ou nous faire aider (prière). Il faut bien utiliser son côté féminin (intuition, ressentie, analyse…) afin d’utiliser son côté masculin (l’action).
Aujourd’hui, il est facile de se faire piéger, car nous vivons dans un monde où tout va très vite et l’on ne prend plus assez le temps de réfléchir.

En développant notre connexion avec le Divin afin qu’elle soit beaucoup plus régulière, plus intime, nous gagnerions beaucoup de temps, d’argent et nous serions plus heureux.

Invitation à la réflexion

Pour revenir à l’histoire de la grenouille, je vous propose de réfléchir si dans votre vie il n’y a pas des domaines où vous vous êtes fait piéger aussi.

Au niveau de la politique, je pense que ce principe a été appliqué dans plusieurs pays où les gouvernements ont augmenté progressivement les impôts au point d’asphyxier financièrement une partie de la population.
Dans ce cas la solution est peut-être la même que dans mon cas, c’est-à-dire prendre du recul et demander de l’aide au Divin.

Je pense d’ailleurs qu’une des raisons des crises politiques ou autres, et de pousser les gens à se rapprocher du Divin, car c’est surtout dans les moments de crise que l’on pense à lui, et c’est aussi dans ces moments-là que la solidarité se développe et que l’on se rapproche des autres. Ce que l’on n’apprend pas par la sagesse on l’apprend par la souffrance, mais c’est quand mieux d’apprendre par la sagesse, n’est-ce pas ?

Avec Lyvia nous vous souhaitons d’excellentes fêtes de fin d’année.

Ecrit par Christian

Chaleureusement,

Lyvia et Christian de Succès et Spiritualité

 

Bonjour

La vie sur terre est comme une grande scène de théâtre.

La plupart du temps, l’être humain est acteur, impliqué dans la scène, sans en être conscient.

Notre pouvoir co-créateur

Souvent à son détriment, car n’étant pas conscient de son pouvoir co-créateur (voir lettre mensuelle n° 1 sur le pouvoir de la pensée), il crée son univers en fonction de ses croyances, ses peurs, ses limites …

L’ idéal c’est de rester acteur tout en étant spectateur de ce qui se joue, vivre le moment présent en conscience, observateur du déroulement de la scène.

Attention au balanciers négatifs

Voir, ressentir si cela nous convient ou non, observer si nous ne sommes pas pris dans un balancier négatif (voir lettre mensuelle n°19 sur le Transurfing).

Si nous sommes pris par un balancier, il est important à ce moment là de prendre conscience que deux choix s’offrent à nous :
1) De le subir
2) De changer la mise en scène, de la transformer.

Je vais vous donner un exemple:

J’arrive parmi un regroupement de collègues, qui sont est entrain de critiquer une personne absente.

Comme nul n’est parfait, je serai tenté de prendre parti et de me mettre moi aussi à la critiquer.
Si c’est le cas, j’entre dans un balancier négatif, qui se nourrira de mon énergie.
De plus la loi de cause à effet (la loi du karma, la loi boumerang…..) s’arrangera pour me faire arriver une situation similaire à celle de la personne critiquée, afin de me rendre compte que moi aussi je ne suis pas parfaite.

Attention parfois les balanciers sont plus rusés en rajoutant par exemple de la culpabilité.

A partir du moment où nous nous sentons mal dans ce que nous vivons, il est temps d’observer le jeu.

C’est notre âme, notre côté féminin, intuitif qui nous parle et nous invite à changer d’attitude.

Nous sommes maître de notre destinée, mais faut-il en être conscient !

Anticiper les changements

La vie se pilote un peu comme une voiture. Il faut être conscient des virages à prendre (changer notre comportement, notre façon d’être) pour éviter des désagréments (sortie de route ou autre).

Nous pouvons anticiper les changements en visualisant notre nouvelle façon d’être et d’agir (voir la visualisation).

Augmenter son niveau de conscience de ce qui nous arrive (voir les virages) et visualiser les changements nécessaires permet ainsi d’évoluer en douceur.

Ce que l’on n’apprend pas par la sagesse nous l’apprenons par la souffrance, alors pourquoi pas choisir la sagesse !

D’autre part, nous constatons qu’actuellement nous passons de plus en plus de temps sur des jeux virtuels, la ” télé réalité “…. , plutôt que de jouer notre propre vie !

N’hésitez-pas à nous faire part de vos réflexions sur ce sujet.

Cordialement,

Lyvia et Christian de Succès et Spiritualité